ARTICLE 16

  

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Corrèze : deux ados inventent un accident mortel et  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire par les gendarmes

Les mineurs, âgés de 12 et 14 ans, sont convoqués devant le délégué du procureur. Un important dispositif de secours  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire pour leur canular.

Le canular s'est terminé par une convocation devant la justice. Deux adolescents qui  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire un accident mortel fin août seront prochainement reçus, avec leurs parents, par le délégué du procureur de la République, annonce la gendarmerie de Corrèze ce vendredi, sur Facebook.

Les deux mineurs, âgés de 12 et 14 ans,  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire les secours dans la soirée du vendredi 21 août, leur affirmant qu'un accident de la route  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire à Donzenac. Le drame impliquerait une mère et son fils de 6 ans. La femme serait décédée.

« Immédiatement le centre des appels déclenche l'envoie de nombreux moyens de secours et de recherche composés d'ambulance, équipe cynophile », raconte la gendarmerie. Un hélicoptère  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire. Mais aucun accident n'est localisé.

Une facture à 2000 euros

L'enquête des gendarmes  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire d'identifier les auteurs de la mauvaise blague. Ces derniers ont avoué leur canular, précise France Bleu Limousin.

L'affaire  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire sous condition d'indemnisation correspondant au « coût des moyens de recherche dépêchés sur les lieux », expliquent les forces de l'ordre. Selon la radio locale, la facture  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire à près de 2000 euros.

« Pour information : l'article 322-14 du Code pénal  a permisavaient appeléavaient inventéavait été engagéest également déployépunits'élèvesera classéesont identifiésvenait de se produire de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende la personne qui communique ou divulgue une fausse information faisant croire à un sinistre et de nature à provoquer l'intervention inutile des secours », rappelle la gendarmerie de Corrèze sur sa page Facebook.