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Les urgences de l’hôpital de Valence saturées

Hier mardi, la procédure “hôpital en tension” a été déclenchée au centre hospitalier de Valence. « La situation est très difficile depuis lundi », commente Jean-Pierre Bernard, son directeur général. Depuis,  afin deen faitMaispourtantpuisqueSi, que les médecins de l’Hôpital privé Drôme-Ardèche (HPDA) ont déclenché leur mouvement “zéro admission”.

Les réquisitions de médecins du HPDA sont « inopérantes »  afin deen faitMaispourtantpuisqueSi nombre de patients qui se sont rendus aux urgences de l’établissement privé ont été réorientés sur le service des urgences de l’hôpital de Valence. Hier, à 14 heures, « il y avait 70 patients en attente ». Et une quinzaine d’autres en cours d’hospitalisation.

Seul le service de médecine a été, à ce jour, impacté par la procédure “hôpital en tension”, en ce sens que les patients qui devaient y être hospitalisés ont été « déprogrammés »  afin deen faitMaispourtantpuisqueSi laisser des lits libres pour les patients ayant transité par les urgences.

Jean-Pierre Bernard n’écartait pas, hier, devoir « prendre des mesures supplémentaires de renforcement du personnel médical pour faire face à cet afflux de patients ».  afin deen faitMaispourtantpuisqueSi la situation perdurait, d’autres “déprogrammations” de patients dans les autres services de l’hôpital s’imposeraient. La cellule de crise, qui s’est réunie hier, y réfléchissait.

Les médecins du HPDA ayant décidé que leur mouvement durerait trois jours, le retour à une situation “normale” devrait s’opérer à partir de jeudi 8 janvier.  afin deen faitMaispourtantpuisqueSi qu’en 24 heures les urgences d’un hôpital  afin deen faitMaispourtantpuisqueSi bien équipé soient saturées doit constituer un avertissement.